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Les interventions du groupe ECOLO au conseil communal du 28 mars 2023

Christope Lejeune - Ecolo -Conseil communal Wavre
Publié le
Rédigé par 
Ecolo Wavre

Au sommaire des interventions ECOLO du Conseil communal de Wavre du 28 mars 2023, entre autres les points suivants :
– Rue du Pont du Christ : le double sens est un non-sens
– Zoning Nord : BVLEU ne respecte pas les conditions d’octroi du permis, il faut corriger le tir.

Le détail des points à l’ordre du jour est téléchargeable ici.
Nous reprenons ci-dessous les interventions des conseillers communaux écolos.
La totalité des débats peut être visionnée ici.


S.P.1 Pôle Cadre de vie – Service Mobilité – Sens unique limité rue du Pont du Christ – Abrogation du règlement complémentaire de circulation routière.
Intervention de Christophe Lejeune

Madame la Bourgmestre, Mesdames et Messieurs les échevins,

Je voudrais d’abord et avant tout remercier Monsieur Brasseur et son équipe pour avoir pris le temps d’analyser une mesure que le hasard des travaux a voulue, mais qui était susceptible d’apporter un plus à la mobilité wavrienne.

Ce qui est incontestable, c’est que la courte rue des Fontaines a souffert du report de la circulation. La conclusion est évidente, cette petite rue commerçante n’est pas faite pour accueillir un tel trafic. Est-elle seulement faite pour accueillir des voitures ?

Le nombre total de véhicules passant par l’hypercentre de Wavre a diminué. Le dispositif a donc bien eu un effet dissuasif sur l’usage de la voiture au centre- ville.

En ce qui concerne les différents avis des citoyens :

La satisfaction des cyclistes et des piétons en termes de sécurité semble être bien rencontrée, selon l’enquête réalisée, même si peu d’entre eux ont répondu à l’enquête.

A contrario, les automobilistes ayant répondu à l’enquête et pratiquant l’hypercentre ne se retrouvent pas dans ce plan de circulation.

Les avis des experts eux se déclinent de la manière suivante :

Chez les commerçants, il ne se dégage pas de large consensus, mais l’accessibilité aux commerces est un argument qui fait quand même pencher la balance en faveur d’un retour à l’ancienne situation. Certains, toutefois,

reconnaissent une amélioration pour les usagers faibles et estiment que cela apaise le centre-ville.

La police estime que le sens unique peut rester, mais ne motive pas ce choix. C’est regrettable, nous aurions apprécié avoir un avis motivé des responsables de la police étant entendu que ce sont là les praticiens les plus aux contacts de la réalité en termes de sécurité et de pratique de la chaussée.

Le Gracq pense que le sens unique est absolument nécessaire et qu’un retour en arrière serait une grave erreur pour les cyclistes. En outre, pour eux, la circulation dans la courte rue des Fontaines représente un problème et il y a lieu d’aller plus loin dans l’aménagement en prolongeant le SUL jusqu’aux quais aux huîtres et en inversant les sens de circulation de la Courte Rue des Fontaines.

Enfin, l’avis de notre organe consultatif, la CCATM, est quasi unanime sur le fait qu’il faut conserver ce sens unique limité. Dans cet avis, la CCATM indique qu’il faut régler le problème du report dans la courte rue des Fontaines. Elle constate également qu’une mauvaise signalisation rend les choses compliquées pour les non-Wavriens et que les zones et les périodes de déchargements sont anarchiques. La CCATM enregistre que les retours positifs parlent de sécurité, de convivialité, et d’apaisement.

À la lumière de tous ces éléments, le conseil de ce soir est amené à prendre la décision de retirer ce sens unique ou de le prolonger. Et donc… Vous désirez le supprimer sans autre forme de procès et renoncer à approfondir la question. Pourtant…

Dans l’onglet mobilité de votre déclaration de politique générale, nous lisons ceci:

  • ●  Développer les infrastructures pour les modes de déplacement doux (trottoirs, sentiers, pistes cyclables, signalisation)
  • ●  Renforcer la sécurité routière, notamment autour des écoles et dans certains quartiers
  • ●  Assurer une meilleure information des usagers (campagne de mise à jour des infrastructures, communication plus systématique sur le domaine de la mobilité afin de favoriser un changement de comportement)
  • ●  Poursuivre l’intégration systématique des deux roues dans les nouveaux projets d’aménagement des voiries, en veillant à la continuité des aménagements et en supprimant les points dangereux.
  • ●  Prolonger la création de SUL (sens uniques limités) pour les cyclistes en tenant compte des impératifs de sécurité.
  • ●  Optimiser le stationnement et les déplacements par le développement d’applications spécifiques utilisant les données de déplacement générées par les objets connectés.

Et par ailleurs, nous pouvons lire en toutes lettres dans le PCM :

La voiture devient une invitée momentanée et s’adapte en fonction du flux des piétons.

Et qui écoutez-vous ? 600 personnes qui jugent le sens unique de façon défavorable ou très défavorable, qui sont à 90% des automobilistes, faisant fi de la minorité silencieuse que sont les étudiants, les piétons et PMR et les cyclistes . 4 ménages sur 10 habitant dans l’hyper centre ne disposent pas d’un véhicule, mais subissent les nuisances du trafic automobile.

Et lorsque les “experts” vous répondent que le sens unique limité allait dans le bon sens, mais qu’il faut aller plus loin et faire quelques efforts pour régler les problèmes créés ou existants, vous leur répondez que c’est bien trop complexe et qu’il faut encore patienter et faire marche arrière.

Voici donc la position que nous aurions prise à votre place : À court terme :

  • ●  Conservation du SUL parce que ce qui compte, c’est la sécurité.
  • ●  La prolongation du SUL jusqu’au quai aux Huîtres parce que ce quicompte, c’est d’être clair avec les automobilistes : la Rue du Pont duChrist ne fonctionne que dans un sens.
  • ●  Mise en piétonnier de la Courte Rue des Fontaines et de sa parallèle larue Barbier parce que ce qui compte c’est moins de pollution et moins debruit.
  • ●  Inversion du sens unique dans la rue du Progrès parce que qui compteaussi, c’est la praticabilité des alternatives. À moyen terme :
  • ●  Renforcer la signalisation pour les automobilistes, mais également pour les cyclistes parce que ce qui compte c’est de savoir par où on peut passer en toute sécurité.
  • ●  Établir une stratégie et une information très claire et très précise pour les livreurs parce que ce qui compte, c’est rendre le quartier vivable pour les riverains et pour les commerçants.Sur le long terme :

● Mettre en pratique les bonnes intentions du PCM et de la déclaration de politique générale parce que ce qui compte ce sont les actes.

Nous nous opposons au projet de ramener au centre des milliers de voitures

chaque jour comme au temps du « tout à la voiture ». Nous comprenons que la situation actuelle mérite des aménagements complémentaires. Nous demandons que cette décision soit postposée, le temps de repenser à l’amélioration globale du centre-ville, le risque de retour en arrière définitif est trop important à nos yeux.


S.P.5 Pôle Cadre de vie – Service Environnement – Convention écopâturage dans la zone verte des 4 sapins

Intervention de Françoise Darmstaedter.

Je vous remercie de nous avoir envoyé le texte de l’évaluation de la consultation citoyenne qui s’est déroulée dans le quartier des 4 sapins.

J’ai deux questions:

  1. En réponse à cette consultation, il y a plus de 50 idées avancées pour améliorer une éventuelle nouvelle saison d’écopâturage. Qu’allez- vous faire de ces idées? Allez-vous réunir les habitants pour en parler ensemble?
  2. Envisagez-vous d’étendre l’expérience à d’autres terrains de la commune.

Je vous remercie.


S.P.15 Pôle Finances – Service Finances – Garantie d’emprunt à octroyer à l’ASBL LA RAQUETTE – Décision de principe
Intervention de Jean Goossens.

Considérant que le montant total de la dette couvrant l’ensemble des garanties d’emprunt octroyées par la ville au 1er janvier 2023 s’élève à plus de 20 millions.

Considérant que les bénéficiaires peuvent être aussi bien, le CPAS, les régies communales, les fabriques d’Église, que des associations ou clubs sportifs, cette garantie d’emprunt au bénéfice de la Raquette nous induit à vous poser ces quelques questions :

– Quels sont les critères d’attribution de cette garantie d’emprunt ? Est-ce accessible à n’importe quelle association ou club de l’entité ?

– Quel est l’impact de ces garanties d’emprunt sur la charge de la dette communale ?

– Que se passerait-il si l’un ou l’autre de ces bénéficiaires ne pouvait plus assumer ses obligations ? Est-ce déjà arrivé dans le passé ? (nous pensons aux problèmes rencontrés avec le RJ Wavre)

– Il y a toujours une zone de flou entre la ville et la Raquette . La 2e bulle, une fois construite, appartiendra-t-elle à la ville ? Ou à la Raquette ? Si c’est à la ville, pourquoi n’est-ce pas à la ville de prendre en charge l’emprunt nécessaire aux travaux ? Et que se passerait-il si la ville ne pouvait pas répondre favorablement à la demande de la Raquette au sujet de cette garantie d’emprunt ?

Tout en étant attentifs à vos réponses, nous ne voterons pas cette demande de garantie d’emprunt, tout comme nous l’avions fait en janvier pour la Fabrique d’Église de Saint-Jean Baptiste.


SP 17 .Ouverture d’un emploi d’inspecteur de police.

Intervention de Jean Goossens.

C’est une question que nous nous posons à la lecture des multiples ouvertures d’emploi à la police. En effet, depuis 5 mois, c’est pas moins de 15 demandes d’ouverture d’emploi qui sont passées par le conseil communal : Inspecteurs en sécurisation et intervention, enquête et recherche, prévention des violences, conseiller en prévention…

Nous connaissons la grande mobilité au sein de la zone de police , ainsi que les difficultés de recrutement, mais ce nombre est quand même inhabituel. Nous aurions aimé entendre Mr De Martelaere, le chef de corps à ce sujet. Que pouvez-vous en dire ?

Merci pour votre réponse


Urgence climatique.

Intervention de Françoise Darmstaedter

Dans la foulée du dernier rapport du Giec, sorti le 20 mars dernier, le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a averti que la planète n’a plus une minute à perdre pour éviter le pire.
« Ce rapport est un appel à accélérer massivement les efforts climatiques de tous les pays, de tous les secteurs et de tous les calendriers. En bref, notre monde a besoin d’une action climatique sur tous les fronts – tout, partout, en même temps », a dit M. Guterres.

« Il existe de nombreuses options réalisables et efficaces pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et s’adapter au changement climatique d’origine humaine, et elles sont disponibles dès maintenant », ont ainsi fait valoir les experts du GIEC .

Ce rapport de synthèse souligne l’urgence de prendre des mesures plus ambitieuses et montre que, si nous agissons maintenant, nous pouvons encore assurer un avenir durable vivable pour tous
Et le président du Giec s’adresse aux décideurs politiques :

« Nous avons le savoir-faire, la technologie, les outils, les ressources financières et tout ce dont on a besoin pour surmonter les problèmes climatiques que nous avons identifiés. […] Ce qui manque aujourd’hui, c’est une volonté politique forte, afin de les résoudre une fois pour toutes. »

Notre groupe est convaincu de l’urgence. Nous pensons qu’il faut agir sans plus tarder à tous les niveaux possibles, individuels et sociétaux et donc politiques et donc communaux.
Je suis sans doute la seule de cette assemblée à avoir des arrière-petits-enfants et je ne veux pas leur laisser un monde invivable pour cause d’inertie des responsables.

Comme Winston Churchill en 1940, nous sommes devant un choix cornélien : agir ou mourir. La sobriété devient vitale.

Wavre s’est engagée dans un PAEDC (Plan d’Action en faveur de l’Énergie Durable et du Climat).
Dans ce cadre, si on pense « sobriété », on peut par exemple dès aujourd’hui, féliciter la ville pour avoir imposé une zone 30 dans tout le centre. Et le REW pour s’être équipé massivement de LED.

Si on pense qualité de vie, on pense lutte contre les canicules et les inondations, et dans ce cadre, il faut déminéraliser un maximum de surfaces et planter un maximum d’arbres, le plus vite possible.
Le rapport du Giec lance un appel à la mobilisation générale : c’est-à-dire un travail conjoint entre les élus, les entreprises et les citoyens. Rien ne changera sans la concertation entre ces 3 acteurs.

Le Collège a-t-il l’intention d’organiser une concertation entre ces trois acteurs ?
Allez-vous recomposer un comité de pilotage du PAEDC et à quelle échéance ? Le Collège a-t-il l’intention d’accélérer la mise en œuvre du PAEDC ?

Dans l’immédiat, que fera le Collège pour déminéraliser un maximum de surface et planter un maximum d’arbres ?
Quand aurons-nous accès à la plateforme « futurproof cities » ?

Nous espérons que le Collège lancera une grande initiative à la hauteur des enjeux.


Signalisation des travaux

Intervention de Christophe Lejeune

Ces derniers jours nombre de travaux ont bourgeonné aux quatre coins de la commune, c’est normal, c’est le printemps. Ce qui est moins normal, c’est de constater que la plupart de ces chantiers sont excessivement mal balisés et signalisés.

Ainsi, à Limal, des travaux en voirie ont rendu le passage quasiment impossible pour les piétons au début de la rue Achille Bauduin. Nous avons observé la même chose sur la Rue Provinciale à hauteur de Bierges.
Cela nous amène à vous poser ces questions :

Qu’est-il prévu en termes d’obligation de signalisation pour les prestataires de services qui travaillent sur la voie publique ? Qui vérifie que les obligations sont respectées ? Quelles sont les sanctions effectivement données ?
Si l’ensemble des obligations ont été respectées dans le cadre des dossiers cités ci-devant, pourrions-nous déterminer des contraintes plus fortes visant à protéger l’usager faible en cas de travaux sur la chaussée ?

Je vous remercie pour votre réponse.


Disparition des rues cyclables

Intervention de Jean Goossens

Lors du conseil du mois dernier, nous avons voté l’installation d’une zone 30 sur l’ensemble du centre-ville .
Hélas, cette décision allait de pair avec la disparition des rues cyclables déjà

installées et signalées depuis plus d’un an : rue de Bruxelles, rue de Nivelles, rue St-Roch, quai du trompette, rue du 4 août, rue de la limite et rue des brasseries. Nous avons à l’époque marqué notre souhait de maintenir ces rues cyclables, garantes d’une meilleure sécurité pour les cyclistes, ce qui n’est pas le cas de la zone 30. D’autre part, croisant encore cette semaine des élèves de 5e en apprentissage de l’usage du vélo en pleine rue, nous trouvons regrettable que ce qu’ils ont découvert et commencé à intégrer comme règle de sécurité dans leurs déplacements se voie disparaître un an plus tard !

Deux questions se posent :
La rue St-Roch, qui se trouve hors périmètre de zone 30, restera-t-elle en rue cyclable ?
Lors de l’installation de ces rues cyclables, dans le cadre du plan d’investissement Wallonie cyclable, la ville avait fait une demande de subside à la RW pour aménager le quai du trompette. Le montant de ce subside, sauf erreur de notre part, s’élevait à 57.000 € . Qu’en est-il de ce subside étant donné que la notion de rue cyclable disparaît ?


Terrain de la Bawette

Intervention de Bastian Petter

Madame la Bourgmestre,

Nous avons appris cette semaine par la presse que BVI.EU avait déposé sa demande de permis d’urbanisme pour la construction d’un centre dédié à la recherche, au développement, mais aussi à la fabrication et à la commercialisation de produits biotechnologies. Les biotechnologies utilisant, comme vous le savez, des microorganismes pour des applications industrielles, agricoles, médicales ou technologiques.

Le dossier comprend également une demande de permis pour un hôtel et un restaurant avec une salle de danse : c’est le fameux « Domaine du blé » qui déménage.

Nous aurons bientôt le plaisir de lire l’étude d’incidence, réalisée dans la foulée de la réunion publique d’information du mois de juillet dernier.
Je suis curieux d’y lire les réponses aux nombreuses questions posées via courrier par le groupe Ecolo :

  • sur l’énergie consommée et éventuellement produite sur le site,
  • le volume de gaz à effet de serre rejeté dans l’atmosphère,
  • l’imperméabilisation des surfaces,
  • la préservation des arbres et de la flore existante,
  • l’impact des voitures supplémentaires dans le zoning nord et ses alentours,

• la praticabilité des modes doux et des transports en commun par les travailleurs du futur site
• ainsi que la carte des nuisances sonores du nouveau Domaine du Blé.

Souvenez-vous, lorsque, en novembre 2021, contre l’avis des conseillers communaux écologistes, la commune a pris la décision de vendre ce terrain à InBW, l’exploitation était accompagnée de différentes conditions.

Manifestement, il semble d’ores et déjà que plusieurs d’entre elles, qui peuvent être retrouvées dans le PV du Conseil communal du 23 novembre 2021, ne sont pas respectées.

Je pense notamment à :
– La condition « a », qui destinait le terrain à « former un espace tampon entre le site industriel situé au nord et la zone du parc du Château de la Bawette ». On ne voit pas très bien en quoi ce terrain, notamment à l’ouest, constitue un tampon. Rien ne semble vraiment le distinguer des autres terrains du zoning nord.

– Et la condition « d » sur l’occupation du sol. Je cite à nouveau : « Les bâtiments qui seront développés sur le Terrain devront présenter, en moyenne et de manière globale, une densité d’occupation au sol peu élevée (de l’ordre de 30 % en moyenne par rapport à la superficie globale du Terrain), de telle sorte à maintenir une partie conséquente du Terrain en espaces verts ».

Nous apprenions à la réunion d’information publique que, sans que ces chiffres ne soient définitifs, de l’ordre de 300 places de parking étaient prévues pour les entreprises, 300 places pour le pôle Recherche & Développement et 250 places pour les pôles services/loisirs. Ce qui fait au total 850 places à trouver pour les voitures.

850 places de parking, cela nécessite à peu près 2ha de surface sur les 17ha de l’ensemble, c’est-à-dire plus de 10%. Surfaces auxquelles il faut ajouter les voies de circulation intérieures du site.

Manifestement, le promoteur n’entend pas compter la construction d’un parking de surface ni de l’infrastructure de circulation comme des bâtiments… Mais cela n’en fait pas pour autant des espaces verts, fussent-ils arborés de-ci de-là, vous en conviendrez. Ce sont des zones bâties, et si nous ajoutons parkings et voiries, nous sommes loin d’une occupation du sol à 30%.

Nous nous interrogeons également sur les conditions e, f, g et h de notre convention de vente. Ces conditions concernent :

  • la préservation des arbres existants,
  • la qualité des espaces verts,
  • le label zéro énergie Q-zen,
  • l’infiltration des eaux de pluie
  • et la mobilité durable,
    Mais nous ne voudrions pas être trop longs aujourd’hui, et nous attendrons donc la lecture de l’étude d’incidence pour en discuter plus avant.En conclusion, la commune a donc vendu un espace vert en espérant récolter un espace de transition avec le zoning, mais c’est une extension du zoning qu’elle moissonne, une extension dont l’occupation du sol est largement supérieure à 30%.J’imagine que votre déception est grande. Voici donc nos questions :Comment allez-vous intervenir auprès du promoteur pour corriger le tir ? Envisagez-vous déjà de reprendre possession du terrain comme le permet la clause « L » de l’acte de vente ?Je vous remercie pour votre attention.
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